Prophéties relatives à la destruction de Paris



Hélas! Nombreuses sont les prophéties décrivant une France, vers la fin des temps, envahie par les ténèbres et le relâchement, qui se réveille en sursaut sous le choc de la soudaine destruction de la capitale, destruction décrite comme 'instantanée' et faite 'par le feu', les visionnaires du passé ne connaissant pas encore la triste expression de 'terrorisme nucléaire'.

Certaines prophéties, par ailleurs, indiquent que pareille attaque au terrorisme nucléaire ne concernera pas la seule France, mais le monde entier. L'on peut en effet imaginer une série coordonnée d'attaques nucléaires sur les grandes villes occidentales, attaques plus ou moins rapprochées dans le temps, ayant pour objectif la destruction de la civilisation occidentale et la victoire de l'intégrisme musulman. Les prophéties nomment ce moment particulièrement douloureux de l'histoire du monde le 'petit jour de Yahweh' ou 'les châtiments.' Elles décrivent une période plus ou moins longue de redressement spirituel, préludant à une autre crise encore plus grave, s'achevant par le 'grand jour de Yahweh' - le jour du Seigneur de l'Ancien Testament.

Il ne faut pas oublier, toutefois, que ces prophéties 'privées' demeurent hypothétiques, et décrivent de simples possibilités, des tendances non réalisées. Elles sont en même temps des avertissements et véhiculent des intentions de prières. Seules les prophéties de la Bible, au demeurant suffisamment (et intentionellement) vagues pour concerner plusieurs scenarii possibles, s'accompliront à la lettre près.

Cette période de redressement spirituelle intermédiaire, correspondant, selon les auteurs, à l'  « Eglise de Philadelphie » ou aux « deux oliviers » (chapitre 11) du livre de l'Apocalypse, est l'oeuvre de deux figures légendaires, le 'grand monarque' et le 'pasteur angélique', dont les prophéties décrivent la venue simultanée.


Saint Césaire, Archevêque d'Arles (470-542)

"Après que l'univers entier et en particulier la France, et dans la France les provinces du Nord, et de l'Est, et particulièrement la Lorraine et la Champagne, auront été en proie aux plus grandes tribulations, ces provinces seront secourues par un prince exilé dans sa jeunesse, qui recouvrera la couronne du lis. Fuveuis captivatus qui recuperabit coronam lilii. Ce prince étendra sa domination sur tout l'univers. En même temps, il y aura un grand Pape, très saint et très parfait. Ce pape aura avec lui ce grand Roi, homme très vertueux, qui sera du reste du sang très saint des rois de France. Ce grand Roi aidera le Pape à réformer tout l'univers. (...)

Horrible cliquetis d'armes ! Le fer et le feu enserrent la Babylone de la Gaule qui tombe dans un grand incendie, noyée dans le sang. Puis la seconde ville du royaume et encore une autre sont détruites. Alors brille l'éclair de la miséricorde divine, car la justice suprême a frappé tous les méchants. Il arrive, le noble exilé, le donné de Dieu. Il monte sur le trône de ses ancêtres, d'où la malice des hommes dépravés l'avait chassé. Il recouvre la couronne de lys refleuris. Par son courage invincible, il détruit tous les fils de Brutus dont la mémoire sera à jamais anéantie. Après avoir posé son siège dans la ville pontificale, le roi de Blois relèvera la tiare royale sur la tête d'un saint Pontife abreuvé par l'amertume des tribulations, qui obligera le clergé à vivre selon la discipline des âges apostoliques. Tous deux, unis de coeur et d'âme, ils feront triompher la réformation du monde. O très douce paix ! Vos fruits se développeront jusqu'à la fin des siècles. Ainsi soit-il !"



Fr. Jérôme Botin, Bénédictin de l'abbaye de Saint Germain des Près, à Paris (1410)

« Un fils de sang royal naîtra de la race d'Artois. (...) Un autre pasteur surgira, qui mènera les peuples en toute équité et les rois en justice. Il sera honoré par les princes et par le peuple; mais avant que son empire ne s'établiesse, que ceux qui ne se sont pas agenouillés devant Baal fuient de Babylone, dit l'Esprit. (...) Tout d'un coup cette Babylone s'effondre, et dans sa chute elle est brisée en morceaux dit l'Esprit. Cela adviendra pour la purification des justes, et pour la destruction des méchants; afin que les hommes honorent l'Eglise de Dieu, craignent et servent le Seigneur. »

Père Nectou, prêtre Jésuite (1760)

« Pendant cette révolution, qui sera générale et non pas confinée à la France, Paris sera si complètement détruite que vingt ans après, les pères marcheront dans ses ruines avec leurs enfants qui leur demanderont ce qu'il y avait là. Ils répondront : 'mon enfant, ce fut autrefois une grande ville, que Dieu a détruite à cause de ses crimes. Après cet événement terrible, tout rentrera dans l'ordre; la justice règnera dans le monde et la contre-révolution sera accomplie. »

Marianne Gaultier, nonne ursuline du couvent de Blois (1804)

« la grande prostituée sera détruite par le feu. Mais l'Ange du Seigneur avertira les justes de Paris »

Marie Lataste, soeur du Sacré Coeur, morte en 1847 à l'âge de 25 ans.

Le Seigneur lui aurait demandé de prier sans cesse pour la France, en précisant :

« Oh Paris! Ville exécrable, depuis longtemps tu as mérité mon indignation! (...) Tes habitants te maudiront un jour, car tu les as plongés dans ton atmosphère infecte, et même ceux à qui tu as donné refuge te jetteront des malédictions, car ils auront trouvé la mort en ton sein. »

Prophétie d'Orval (1544)

« Malheur à toi, grande ville! Prends garde aux rois armés par le Seigneur; mais déjà le feu t'a jeté à terre. Mais tes justes ne périront pas; car Dieu les a entendus. La place du crime est purgée par le feu; le grand courant a mené, rouge de sang, ses eaux jusqu'à la mer; la Gaule, qu'on croyait brisée en morceau, se rassemble et se réunifie. Dieu aime la paix. Viens, jeune prince; quitte l'île de la captivité; rejoins le lion à la fleur blanche. (...) Si prudent et sage sera le rejeton de la Cape qu'on croira Dieu être avec lui. »

Jean de Vatiguerro (XIIIème siècle)

« Spoliation, désolation et pillage de cette ville des plus fameuses, qui est la capitale et maîtresse de tout le royaume de France (...) Après cela, un jeune prince longtemps tenu dans l'enfermement recouvrera la couronne des lis et étendra sa domination à l'univers tout entier. »

Marie Martel (janvier 1897)

« La Sainte Vierge supplie les yeux tournés vers le ciel, et puis, se retournant vers moi, elle me dit : 'Oh! Paris. Paris n'a pas respecté les lois de mon divin Fils...Il sera châtié et détruit par le feu... Il y aura peu de monde qui restera... ceux qui resteront ne se reconnaîtront pas ... Paris sera détruit par le feu, s'il refuse de se convertir... voilà la punition qui lui est réservée! »

Saint Benoît-Joseph Labre, lettre à Pie VI

« Paris sera détruit à cause de ses blasphèmes; une pierre n'y restera pas sur l'autre. »

Mélanie Calvat, voyante de La Salette

« Paris sera un jour effacé. Comme cette annonce verbale souvent réitérée ne suffisait pas, elle avait recours encore à un procédé plus étrange, destiné à piquer davantage l'attention. A Corenc, elle écrivait souvent ces trois lettres : 'PSB', ce qui veut dire : 'Paris sera brûlée'. En 1896, elle écrivait : 'Voyez-vous la Seine? Si vous saviez combien de gens y seront jetés! Mais le plus grand nombre viendront s'y jeter, tout affolés, fuyant le feu qui sera comme suspendu au-dessus de la ville. Ils s'y jetteront comme fous de terreur, croyant éviter ainsi le feu menaçant. »

Prophétie de l'Abbé Souffrant (1827)

"La République sera proclamée, mais elle durera peu. Vous entendrez alors plusieurs cris ; les trois qui domineront seront : Vivre la République, Vivre Napoléon et le dernier de tous sera : Vive le Grand-Monarque que Dieu nous garde. La venue de ce Grand-Monarque, y est-il dit, sera très proche, lorsque le nombre des légitimistes restés vraiment fidèles sera tellement petit qu'à vrai dire on les comptera. Avant le Grand-Monarque, des malheurs doivent arriver. Le sang coulera par torrents, dans le Nord et le Midi ; l'Ouest sera épargné à cause de sa foi. Mais le sang coulera tellement au Nord et au Midi, que je le vois couler comme la pluie dans un jour de grand orage, et je vois les chevaux ayant du sang jusqu'aux sangles. Paris sera détruit, tellement détruit que la charrue y passera. Alors, entre le cri : "tout est perdu" et "tout est sauvé", il n'y aura pour ainsi dire pas d'intervalle. Dans ces événements, les bons n'auront rien à faire, car ce seront les Républicains qui se dévoreront entre eux. Le Grand-Monarque fera des choses si étonnantes et si merveilleuses, que les plus incrédules seront forcés de reconnaître le doigt de Dieu. Sous son règne toute justice sera rendue. Les malheurs prédits plus haut seront la suite de nos crimes. Si, comme Dieu le désire, nous rentrons dans ses voies et celles de l'Église, nos maux seront allégés. C'est à cause de cela que l'Ouest a trouvé grâce devant Dieu, en vue de sa foi : aussi sera-t-il épargné dans ces événements. Dieu se servira du Grand-Monarque pour exterminer toutes les sectes hérétiques, toutes les superstitions des Gentils et répandre, de concert avec le Pontife Saint, la religion catholique dans tout l'univers, excepté dans la Palestine, pays de malédiction."



Marie des Brotteaux (1773-1843)

Marie des Brotteaux, morte en réputation de sainteté, à Lyon, en 1843 à l'âge de soixante-dix ans.


"Les événements qui doivent terminer la révolution, seront si effrayants que ceux qui n'en seront pas prévenus croiront être à la fin du monde. Ils seront si terribles qu'il y aura de quoi sécher de frayeur. Ces maux seront l'image de ceux qui doivent arriver à la fin du monde à moins que les prières et la pénitence ne fléchissent la justice de Dieu. Ceux qui auront sur eux quelques objets de piété bénits seront préservés pour la plupart. Les prières de quelques parents ou amis en sauveront d'autres qui se convertiront. En même temps que la France sera châtiée, beaucoup d'autres nations le seront aussi à peu près dans le même temps. Dans le cours de la révolution, deux miracles ont été opérés : le premier a été la rentrée des Bourbons en France ; le second, leur retour après les Cent Jours ; il s'en fera un troisième qui étonnera tout l'univers et qui mettra fin à la révolution. Un bras de fer surgira miraculeusement, armé d'une grande puissance pour venger les outrages faits à Dieu et à la royauté, dont les membres survivants doivent tous reparaître sur le sol de la patrie, après le grand événement. Il n'y aura plus alors ni haine ni rancune. Après le grand combat, la légitimité sera reconnue... La religion refleurira et les peuples reviendront au bonheur des premiers siècles : les chrétiens vivront comme des frères."


Marie des Terreaux

"Au moment où la France sera châtiée d'une manière terrible, tout l'univers le sera aussi. On ne m'a pas dit comment. Il m'a été annoncé qu'il y aurait un événement effrayant, que ceux qui n'en auraient pas été prévenus, croiraient toucher à leur dernière heure et penseraient être à la fin du monde. Mais tout à coup la révolution finira par un grand miracle, qui fera l'étonnement de l'univers ; le peu de méchants qui restera, se convertira. Les choses qui doivent arriver seront une image de celles de la fin du monde ; elles seront si terribles qu'il y aura de quoi sécher de frayeur. Il m'a été dit : "Tous ceux qui sont pour Moi ne périront pas, ne périront pas, ne périront pas." Mais, ai-je répliqué, il est impossible qu'il n'y ait pas quelques bons qui périssent. Il m'a été répondu : "Oui, il pourra y avoir quelques victimes, mais elles ne seront pas perdues pour Moi." Après le grand combat la légitimité sera reconnue... et tous s'embrasseront sans rancune ; la religion refleurira et les peuples reviendront au bonheur des premiers siècles : les chrétiens vivront comme des frères."


La religieuse de Belley (morte en 1820)


"Malheur ! Malheur ! Trois fois malheur à la cité de sang ! Malheur à la cité de l'hérésie ! Malheur à la cité du crime ! Les méchants veulent tout détruire ; leurs livres, leurs doctrines inondent le monde. Le jour de la justice est venu. Je vois à l'aspect de celui qu'on a méconnu, le monde fléchir et tomber.

Une femme l'a sauvé, une femme le suit. Un ministre du Très-Haut le soutient. Ce ministre vient d'être oint de l'huile sainte. Dieu les accompagne. Voilà votre Roi. Il paraît au milieu de la confusion de l'orage. Quel affreux moment ! Les bons, les méchants tombent. Babylone est réduite en cendres. Malheur à toi, ville maudite !

Je vis alors les clefs lumineuses paraître vers le Nord. Un saint lève les mains au ciel ; il apaise la colère divine. Il monte sur le trône de saint Pierre. Le Grand-Monarque monte sur celui de ses pères. Le trône est posé au midi. Tout s'apaise à leur voix. Les autels se relèvent. La religion renaît, les méchants sont détruits et confondus, les injustices se réparent. Le Grand-Monarque de sa main réparatrice a tout sauvé. Il ne fait que passer, sa gloire est courte, il est né dans le malheur.

En l'an 18.., l'enfant de l'exil lui succède. La paix sera alors donnée à la France ; mais la fin des temps ne sera pas éloignée."


Révélations de la Vierge de toutes les Nations (Pays-Bas).

La Vierge Marie révéla à la voyante qu'après les Châtiments, le Grand Monarque, le roi français Henri, règnera sur le monde chrétien tout entier de façon brève mais puissante. Il fut dit à la voyante qu'elle ne verrait pas son règne. De fait, Ida Peerleman mourut en 1996.



Prophète anonyme (2003)

« Je voyais Paris; la circulation était embouteillée. Des démineurs en tenue NBC s'activaient dans les égouts. On me montra aussitôt après une ville; les gens dévalaient la pente vers le fleuve. Soudain, je vis un champignon atomique s'élever et la ville détruite. Je vis les mêmes gens qui dévalaient la pente faire demi-tour, en tenue de pèlerin. Je crus comprendre que la destruction de Paris pouvait être évitée, mais que si elle se produisait, elle conduirait les Français à se repentir et à revenir à la religion. Je le vis ensuite, lui; il était de retour d'exil et se maria très vite à son retour. C'était un couple très populaire, on les appelait 'le lys et la rose'. Il y avait aussi un enterrement, car certains de ses amis était morts pendant la guerre civile. C'était une autre France, un autre régime, qui n'avait rien à voir avec l'état actuel des choses. Tout y était lumineux, rayonnant, majestueux, calme, paisible, ensoleillé. Je voyais des sortes de gendarmes qui avaient un uniforme très différent de ceux de maintenant. Ils avaient de curieux petits bicornes en guise de casquette. Je le vis lui, avec sa femme, dans une voiture; la foule les entourait; il y avait beaucoup de gendarmes à proximité mais je vis un individu aux cheveux filasses et gras, sortir de son imperméable une sorte de fusil miniature. Sans se faire remarquer, il put viser tout à sa guise et l'atteint au cou. Je le vis conscient du danger, mais il n'osait se rabattre à l'intérieur de la voiture, de peur que sa femme, derrière lui, fût touchée. Il s'effondra. Je vis ses funérailles : c'était des funérailles nationales. Je vis une statue le représentant, érigée au bout d'une avenue; je vis ensuite des écrivains, côte à côte, écrire des livres sur lui. Sur l'un d'eux, on le voyait figuré en armure de chevalier, aux côtés d'une rose. Derrière lui il y avait un soleil. Je vis qu'il y avait, symboliquement, une quantité de gens dans le soleil, l'air hébété : ils étaient passés des ténèbres à la lumière. Un régent lui succéda : il était moins stylé, mais populaire. On me montra des chars lanceurs de missiles nucléaires : une grande guerre allait commencer. Je vis que la France allait avoir beaucoup d'adversaires. C'était la fin des temps. »